Billy nous dépose à la terminale de bus, il est 11h20. Nous arrivons à San Salvador de Jujuy à 13h. Après avoir contacter Jorge, nous rencontrerons Raul et Victor de la communauté AIMARA au centre de la TUPAC à 14h30. Bien gentillement, les deux hommes nous feront découvrir les us et coutumes des indigènes de la région au fil de la visite du musée.
Ils nous présenterons la structure avec sa pierre du soleil, son gymnase, son hôpital, ses bureaux où les frères et sœurs des communautés se réunissent afin d'organiser le mouvement en fonction de leur besoin.
Un rêve à réaliser... Partir vivre l'aventure en Amérique du Sud pour une durée indéterminée. S'installer, travailler, goûter à une autre vie sur un continent qui nous tient particulièrement à cœur ! Par le biais de ce blog nous souhaitons partager notre bonheur et permettre à nos proches de suivre notre aventure. Bienvenue à tous !!!
vendredi 14 octobre 2011
jeudi 13 octobre 2011
En route pour Salvador de JUJUY : escale à Güemes - km 4014
Grâce à l'Association Solidarité Provence Amérique du Sud de Marseille, nous sommes entrés en contact avec le plus grand mouvement social argentin : la TUPAC AMARU, située à Salvador de Jujuy (à 120 km dans le Nord de Salta).
Notre objectif : rencontrer des membres du mouvement qui allaient nous le présenter.
Parti encore à la bourre sur la route pour rejoindre Jujuy en stop depuis Salta, c'est finalement Guillermo alias Billy, qui nous avancera jusqu'à Güemes. Il est environ 14h. Après d'intéressants échanges sur les voyages et la culture argentine, Billy nous invite à déjeuner avec lui dans le resto d'un hôtel à Güemes (70 km de Jujuy et 50 km de Salta). L'homme est une crème, d'une gentillesse extraordinaire. Il s'avère qu'il est le gérant de cet hôtel 4 étoiles flambant neuf que nous apercevons à l'entrée de la ville. Nous acceptons avec plaisir et dégusterons quelques spécialités de la région sous le regard attentif de ses explications.
Il nous conduira ensuite à la sortie de la ville en nous laissant ses coordonnées et insistant sur le fait de le recontacter si toute fois personne ne nous prenait en stop. Il nous ferait dormir à l'hôtel. L'heure tourne, il est plus de 17h et nous avons 100 pesos en poche (17 €), ne sachant pas comment faire pour dormir à Jujuy nous appelerons Billy pour lui faire part de la situation. Il nous dit de passer vers 19h alors qu'il serait en meeting avec le propriétaire, nous demanderons un pass à l'acceuil. Parfait, nous passons 2h au cyber café et rejoindrons notre suite....incroyable!
Nous prenons donc un bon bain ! Vers 20h30, Billy nous convie à l'accompagner à la station de radio NorteVisionSat dont il occupe les fréquences pendant 1h du lundi au vendredi de 21h à 22h. Il y passe de la musique pop/rock des années 60 à 90. L'heure passe très vite, nous prendrons même le micro pour jeter quelques mots français aux oreilles des auditeurs. S'en suit un petit diner dans un bar de la place principal avec Billy et sa compagne. Et le diner sera encore une fois généreusement offert...
Rendu à l'hôtel vers minuit, nous profiterons d'un luxe hors du commun pour nous reposer et décoller tôt le lendemain.
Notre objectif : rencontrer des membres du mouvement qui allaient nous le présenter.
Parti encore à la bourre sur la route pour rejoindre Jujuy en stop depuis Salta, c'est finalement Guillermo alias Billy, qui nous avancera jusqu'à Güemes. Il est environ 14h. Après d'intéressants échanges sur les voyages et la culture argentine, Billy nous invite à déjeuner avec lui dans le resto d'un hôtel à Güemes (70 km de Jujuy et 50 km de Salta). L'homme est une crème, d'une gentillesse extraordinaire. Il s'avère qu'il est le gérant de cet hôtel 4 étoiles flambant neuf que nous apercevons à l'entrée de la ville. Nous acceptons avec plaisir et dégusterons quelques spécialités de la région sous le regard attentif de ses explications.
Il nous conduira ensuite à la sortie de la ville en nous laissant ses coordonnées et insistant sur le fait de le recontacter si toute fois personne ne nous prenait en stop. Il nous ferait dormir à l'hôtel. L'heure tourne, il est plus de 17h et nous avons 100 pesos en poche (17 €), ne sachant pas comment faire pour dormir à Jujuy nous appelerons Billy pour lui faire part de la situation. Il nous dit de passer vers 19h alors qu'il serait en meeting avec le propriétaire, nous demanderons un pass à l'acceuil. Parfait, nous passons 2h au cyber café et rejoindrons notre suite....incroyable!
Nous prenons donc un bon bain ! Vers 20h30, Billy nous convie à l'accompagner à la station de radio NorteVisionSat dont il occupe les fréquences pendant 1h du lundi au vendredi de 21h à 22h. Il y passe de la musique pop/rock des années 60 à 90. L'heure passe très vite, nous prendrons même le micro pour jeter quelques mots français aux oreilles des auditeurs. S'en suit un petit diner dans un bar de la place principal avec Billy et sa compagne. Et le diner sera encore une fois généreusement offert...
Rendu à l'hôtel vers minuit, nous profiterons d'un luxe hors du commun pour nous reposer et décoller tôt le lendemain.
mardi 11 octobre 2011
Aux alentours de SALTA : Parc San Lorenzo - km 3964
Revenons au fait macabre de juillet 2011 : deux jeunes françaises sont retrouvées mortes dans le parc San Lorenzo. Cette terrible affaire avaient remuée la France et la région de Salta vivant principalement du tourisme. L'efficacité de l'enquête n'est pas remise en doute : 2 mois plus tard 5 personnes seront sous les verrous. Cependant, durant un voyage en stop entre Salta et Salvador de Jujuy, Billy, gérant d'un hôtel 44 étoiles à Güemes (50km dans le Nord de Salta), partagera une information supplémentaire à la compréhension de cette affaire : les deux jeunes femmes faisaient des recherches sur les détournement de fonds destinés aux aborigènes du Nord de l'Argentine (source : http://www.salta21.com/ Formosa-matan-aborigenes-y- roban.html). Ce constat soulève une fois de plus le problème de la puissance des propriétaires de terre qui délogent des populations entières dans le Nord du pays afin de planter du soja et de s'enrichir grâce à Monsanto...
Nous décidons cependant de nous y rendre pour visiter la beauté du qui fait l'unanimité. Après 15km en bus, nous voilà rendu dans cet havre de paix. Malheureusement, à cause des circonstances plus haut citées, les sentiers sont fermés car l'enquête de police était toujours en cours. Cependant, nous déciderons d'emprunter une voie pour visiter les environs. L'ambiance un peu glauque nous fera rebrousser chemin après 40 min de marche...C'est dommage car l'endroit est vraiment magnifique et change du côté désertique du nord de Salta. Ici tout est vert comme en témoigne les photos.
Nous décidons cependant de nous y rendre pour visiter la beauté du qui fait l'unanimité. Après 15km en bus, nous voilà rendu dans cet havre de paix. Malheureusement, à cause des circonstances plus haut citées, les sentiers sont fermés car l'enquête de police était toujours en cours. Cependant, nous déciderons d'emprunter une voie pour visiter les environs. L'ambiance un peu glauque nous fera rebrousser chemin après 40 min de marche...C'est dommage car l'endroit est vraiment magnifique et change du côté désertique du nord de Salta. Ici tout est vert comme en témoigne les photos.
samedi 8 octobre 2011
Argentina - R61 retour sur Salta - km 3949
Nous laissons san Antonio de Los Cobres et son froid saisissant pour emprunter la R 51 qui suit le fameux "tren de las nubes" (train des nuages) qui nous mènera à Salta.
Étant donné le prix exorbitant du billet de train : 120 dollars par personne, nous préférons découvrir la route en voiture ce qui nous laisse la possibilité d'admirer les viaducs et de s'arrêter visiter les ruines précolombiennes de Tastil.

Étant donné le prix exorbitant du billet de train : 120 dollars par personne, nous préférons découvrir la route en voiture ce qui nous laisse la possibilité d'admirer les viaducs et de s'arrêter visiter les ruines précolombiennes de Tastil.

vendredi 7 octobre 2011
Argentina - San Antonio de los cobres - km 3785
97 km nous manquent encore pour atteindre la ville de San Antonio de Los Cobres, perchée à 3775m d'altitude. 3 heures de route seront nécessaires entre "tempête" de sable et... rien : c'est désertique !
Un vent glacial souffle sur la ville : nous enfilons vite les doudounes et cherchons un endroit bien chaud pour passer la nuit (pas de camping ce soir).
Un vent glacial souffle sur la ville : nous enfilons vite les doudounes et cherchons un endroit bien chaud pour passer la nuit (pas de camping ce soir).
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